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Soeur Pauline de la Croix

Posté par marechalunjour le 28 février 2021

Certains d’entre vous se souviennent de la famille Bétis, Vincent et sa voix qui a animé notre sanctuaire, Nathalie et leurs enfants.

Voici Sœur Pauline de La Croix (Cécile Bétis), petite sœur de la Consolation et de la Sainte Face à Draguignan, entrée par sa prise d’habit en noviciat hier après-midi.

Prions pour elle, elle priera pour nous !

CECILE_BETIS

 

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C’est reparti !

Posté par marechalunjour le 11 novembre 2020

Fidèle aux habitudes du confinement et après la « saison 1″, l’équipe du sanctuaire vous invite à suivre la saison 2, épisode 1 à 5

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Vidéo jours 50 et 51

Posté par marechalunjour le 7 mai 2020

Si vous n’êtes pas destinataire par mail des vidéos quotidiennes du sanctuaire, réalisées pour mieux vivre spirituellement le confinement, vous les trouverez désormais sur ce blog !

Confinement physique mais déconfinement spirituel !

 

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Vivre le Carême autrement …

Posté par marechalunjour le 16 mars 2020

Voir et écouter le message du recteur et de l’équipe d’animation.

(Cliquer sur le bandeau supérieur de la fenêtre vidéo pour accéder au plein écran)

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Suite…

Posté par marechalunjour le 14 mars 2020

ANNULÉ

Semaine du 16 au 22 mars / Messe, Chapelet et Adoration dans la chapelle

Chers amis,
Nous proposons à Béhuard chaque jour cette semaine (du16 au 22 mars) : la messe, le chapelet et 4 heures d’adoration quotidienne dans la chapelle.

ADORATION (tous les jours de cette semaine 10h00 à 14h00)
Nous aimerions qu’il y ait au moins 2 personnes par créneau.
Nous gardons l’heure d’adoration du mercredi de 21h à 22h

MESSE (100 places)
Pour la semaine de 16 au 21 mars

– Lundi à 18h30
– Mardi 9h
– Mercredi 11h30
– jeudi 9h
– Vendredi 7h
– Samedi 9h

Dimanche 22 mars

– Samedi 18h30 (messe anticipée)
– Dimanche 9h00, 10h30, 17h30

CHAPELET
Tous les jours le chapelet aura lieu à 15h dans la Chapelle.

En grande union de prières et d’Espérance
L’équipe de Béhuard

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Journée de prière du 26 mars

Posté par marechalunjour le 11 mars 2019

JOURNEE_2603

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RAMEAUX 2018

Posté par marechalunjour le 25 mars 2018

fichier pdf Feuille paroissiale SPVL 250318

Du fait de la longueur de l’évangile du jour il est mis en ligne dans ce billet au lieu de sa place habituelle dans le menu latéral…

rameauxMc 14,1-72.15,1-47.

La fête de la Pâque et des pains sans levain allait avoir lieu deux jours après. Les grands prêtres et les scribes cherchaient comment arrêter Jésus par ruse, pour le faire mourir.
Car ils se disaient : « Pas en pleine fête, pour éviter des troubles dans le peuple. »
Jésus se trouvait à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux. Pendant qu’il était à table, une femme entra, avec un flacon d’albâtre contenant un parfum très pur et de grande valeur. Brisant le flacon, elle lui versa le parfum sur la tête.
Or, de leur côté, quelques-uns s’indignaient : « À quoi bon gaspiller ce parfum ?
On aurait pu, en effet, le vendre pour plus de trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données aux pauvres. » Et ils la rudoyaient.
Mais Jésus leur dit : « Laissez-la ! Pourquoi la tourmenter ? Il est beau, le geste qu’elle a fait envers moi.
Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, et, quand vous le voulez, vous pouvez leur faire du bien ; mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.
Ce qu’elle pouvait faire, elle l’a fait. D’avance elle a parfumé mon corps pour mon ensevelissement.
Amen, je vous le dis : partout où l’Évangile sera proclamé – dans le monde entier –, on racontera, en souvenir d’elle, ce qu’elle vient de faire. »
Judas Iscariote, l’un des Douze, alla trouver les grands prêtres pour leur livrer Jésus.
À cette nouvelle, ils se réjouirent et promirent de lui donner de l’argent. Et Judas cherchait comment le livrer au moment favorable.
Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l’on immolait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent : « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? »
Il envoie deux de ses disciples en leur disant : « Allez à la ville ; un homme portant une cruche d’eau viendra à votre rencontre. Suivez-le,
et là où il entrera, dites au propriétaire : “Le Maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?”
Il vous indiquera, à l’étage, une grande pièce aménagée et prête pour un repas. Faites-y pour nous les préparatifs. »
Les disciples partirent, allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, Jésus arrive avec les Douze.
Pendant qu’ils étaient à table et mangeaient, Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous, qui mange avec moi, va me livrer. »
Ils devinrent tout tristes et, l’un après l’autre, ils lui demandaient : « Serait-ce moi ? »
Il leur dit : « C’est l’un des Douze, celui qui est en train de se servir avec moi dans le plat.
Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »
Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, le leur donna, et dit : « Prenez, ceci est mon corps. »
Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous.
Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude.
Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. »
Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.
Jésus leur dit : « Vous allez tous être exposés à tomber, car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées.
Mais, une fois ressuscité, je vous précéderai en Galilée. »
Pierre lui dit alors : « Même si tous viennent à tomber, moi, je ne tomberai pas. »
Jésus lui répond : « Amen, je te le dis : toi, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. »
Mais lui reprenait de plus belle : « Même si je dois mourir avec toi, je ne te renierai pas. » Et tous en disaient autant.
Ils parviennent à un domaine appelé Gethsémani. Jésus dit à ses disciples : « Asseyez-vous ici, pendant que je vais prier. »
Puis il emmène avec lui Pierre, Jacques et Jean, et commence à ressentir frayeur et angoisse.
Il leur dit : « Mon âme est triste à mourir. Restez ici et veillez. »
Allant un peu plus loin, il tombait à terre et priait pour que, s’il était possible, cette heure s’éloigne de lui.
Il disait : « Abba… Père, tout est possible pour toi. Éloigne de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que moi, je veux, mais ce que toi, tu veux ! »
Puis il revient et trouve les disciples endormis. Il dit à Pierre : « Simon, tu dors ! Tu n’as pas eu la force de veiller seulement une heure ?
Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation ; l’esprit est ardent, mais la chair est faible. »
De nouveau, il s’éloigna et pria, en répétant les mêmes paroles.
Et de nouveau, il vint près des disciples qu’il trouva endormis, car leurs yeux étaient alourdis de sommeil. Et eux ne savaient que lui répondre.
Une troisième fois, il revient et leur dit : « Désormais, vous pouvez dormir et vous reposer. C’est fait ; l’heure est venue : voici que le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
Levez-vous ! Allons ! Voici qu’il est proche, celui qui me livre. »
Jésus parlait encore quand Judas, l’un des Douze, arriva et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les grands prêtres, les scribes et les anciens.
Or, celui qui le livrait leur avait donné un signe convenu : « Celui que j’embrasserai, c’est lui : arrêtez-le, et emmenez-le sous bonne garde. »
À peine arrivé, Judas, s’approchant de Jésus, lui dit : « Rabbi ! » Et il l’embrassa.
Les autres mirent la main sur lui et l’arrêtèrent.
Or un de ceux qui étaient là tira son épée, frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l’oreille.
Alors Jésus leur déclara : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus vous saisir de moi, avec des épées et des bâtons ?
Chaque jour, j’étais auprès de vous dans le Temple en train d’enseigner, et vous ne m’avez pas arrêté. Mais c’est pour que les Écritures s’accomplissent. »
Les disciples l’abandonnèrent et s’enfuirent tous.
Or, un jeune homme suivait Jésus ; il n’avait pour tout vêtement qu’un drap. On essaya de l’arrêter.
Mais lui, lâchant le drap, s’enfuit tout nu.
Ils emmenèrent Jésus chez le grand prêtre. Ils se rassemblèrent tous, les grands prêtres, les anciens et les scribes.
Pierre avait suivi Jésus à distance, jusqu’à l’intérieur du palais du grand prêtre, et là, assis avec les gardes, il se chauffait près du feu.
Les grands prêtres et tout le Conseil suprême cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mettre à mort, et ils n’en trouvaient pas.
De fait, beaucoup portaient de faux témoignages contre Jésus, et ces témoignages ne concordaient pas.
Quelques-uns se levèrent pour porter contre lui ce faux témoignage :
« Nous l’avons entendu dire : “Je détruirai ce sanctuaire fait de main d’homme, et en trois jours j’en rebâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.” »
Et même sur ce point, leurs témoignages n’étaient pas concordants.
Alors s’étant levé, le grand prêtre, devant tous, interrogea Jésus : « Tu ne réponds rien ? Que dis-tu des témoignages qu’ils portent contre toi ? »
Mais lui gardait le silence et ne répondait rien. Le grand prêtre l’interrogea de nouveau : « Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ? »
Jésus lui dit : « Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir parmi les nuées du ciel. »
Alors, le grand prêtre déchire ses vêtements et dit : « Pourquoi nous faut-il encore des témoins ?
Vous avez entendu le blasphème. Qu’en pensez-vous ? » Tous prononcèrent qu’il méritait la mort.
Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, couvrirent son visage d’un voile, et le giflèrent, en disant : « Fais le prophète ! » Et les gardes lui donnèrent des coups.
Comme Pierre était en bas, dans la cour, arrive une des jeunes servantes du grand prêtre.
Elle voit Pierre qui se chauffe, le dévisage et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth ! »
Pierre le nia : « Je ne sais pas, je ne comprends pas de quoi tu parles. » Puis il sortit dans le vestibule, au dehors. Alors un coq chanta.
La servante, ayant vu Pierre, se mit de nouveau à dire à ceux qui se trouvaient là : « Celui-ci est l’un d’entre eux ! »
De nouveau, Pierre le niait. Peu après, ceux qui se trouvaient là lui disaient à leur tour : « Sûrement tu es l’un d’entre eux ! D’ailleurs, tu es Galiléen. »
Alors il se mit à protester violemment et à jurer : « Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. »
Et aussitôt, pour la seconde fois, un coq chanta. Alors Pierre se rappela cette parole que Jésus lui avait dite : « Avant que le coq chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. » Et il fondit en larmes.
Dès le matin, les grands prêtres convoquèrent les anciens et les scribes, et tout le Conseil suprême. Puis, après avoir ligoté Jésus, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate.
Celui-ci l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui le dis. »
Les grands prêtres multipliaient contre lui les accusations.
Pilate lui demanda à nouveau : « Tu ne réponds rien ? Vois toutes les accusations qu’ils portent contre toi. »
Mais Jésus ne répondit plus rien, si bien que Pilate fut étonné.
À chaque fête, il leur relâchait un prisonnier, celui qu’ils demandaient.
Or, il y avait en prison un dénommé Barabbas, arrêté avec des émeutiers pour un meurtre qu’ils avaient commis lors de l’émeute.
La foule monta donc chez Pilate, et se mit à demander ce qu’il leur accordait d’habitude.
Pilate leur répondit : « Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? »
Il se rendait bien compte que c’était par jalousie que les grands prêtres l’avaient livré.
Ces derniers soulevèrent la foule pour qu’il leur relâche plutôt Barabbas.
Et comme Pilate reprenait : « Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez le roi des Juifs ? »,
de nouveau ils crièrent : « Crucifie-le ! »
Pilate leur disait : « Qu’a-t-il donc fait de mal ? » Mais ils crièrent encore plus fort : « Crucifie-le ! »
Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié.
Les soldats l’emmenèrent à l’intérieur du palais, c’est-à-dire dans le Prétoire. Alors ils rassemblent toute la garde,
ils le revêtent de pourpre, et lui posent sur la tête une couronne d’épines qu’ils ont tressée.
Puis ils se mirent à lui faire des salutations, en disant : « Salut, roi des Juifs ! »
Ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et s’agenouillaient pour lui rendre hommage.
Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau de pourpre, et lui remirent ses vêtements. Puis, de là, ils l’emmènent pour le crucifier,
et ils réquisitionnent, pour porter sa croix, un passant, Simon de Cyrène, le père d’Alexandre et de Rufus, qui revenait des champs.
Et ils amènent Jésus au lieu dit Golgotha, ce qui se traduit : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire).
Ils lui donnaient du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n’en prit pas.
Alors ils le crucifient, puis se partagent ses vêtements, en tirant au sort pour savoir la part de chacun.
C’était la troisième heure (c’est-à-dire : neuf heures du matin) lorsqu’on le crucifia.
L’inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : « Le roi des Juifs ».
Avec lui ils crucifient deux bandits, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche.
[…]

Les passants l’injuriaient en hochant la tête : ils disaient : « Hé ! toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, descends de la croix ! »
De même, les grands prêtres se moquaient de lui avec les scribes, en disant entre eux : « Il en a sauvé d’autres, et il ne peut pas se sauver lui-même !
Qu’il descende maintenant de la croix, le Christ, le roi d’Israël ; alors nous verrons et nous croirons. » Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l’insultaient.
Quand arriva la sixième heure (c’est-à-dire : midi), l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
Et à la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lema sabactani ? », ce qui se traduit : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L’ayant entendu, quelques-uns de ceux qui étaient là disaient : « Voilà qu’il appelle le prophète Élie ! »
L’un d’eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d’un roseau, et il lui donnait à boire, en disant : « Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là ! »
Mais Jésus, poussant un grand cri, expira.
Le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas.
Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, déclara : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! »
Il y avait aussi des femmes, qui observaient de loin, et parmi elles, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques le Petit et de José, et Salomé,
qui suivaient Jésus et le servaient quand il était en Galilée, et encore beaucoup d’autres, qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
Déjà il se faisait tard ; or, comme c’était le jour de la Préparation, qui précède le sabbat,
Joseph d’Arimathie intervint. C’était un homme influent, membre du Conseil, et il attendait lui aussi le règne de Dieu. Il eut l’audace d’aller chez Pilate pour demander le corps de Jésus.
Pilate s’étonna qu’il soit déjà mort ; il fit appeler le centurion, et l’interrogea pour savoir si Jésus était mort depuis longtemps.
Sur le rapport du centurion, il permit à Joseph de prendre le corps.
Alors Joseph acheta un linceul, il descendit Jésus de la croix, l’enveloppa dans le linceul et le déposa dans un tombeau qui était creusé dans le roc. Puis il roula une pierre contre l’entrée du tombeau.
Or, Marie Madeleine et Marie, mère de José, observaient l’endroit où on l’avait mis.

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Notre Père

Posté par marechalunjour le 27 décembre 2017

A l’occasion de la parution du texte du nouveau « Notre Père », le père Loiseau nous livre sa lecture de cette prière centrale pour nous.

Il reprend ici une explication déjà évoquée dans ses homélies.

fichier pdf Le Notre Père au temps de l’Avent

L’image ci-dessous a été prise à Jérusalem en 2014 au Carmel du Pater Noster (Mont des oliviers).

PATER

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Image de circonstance

Posté par marechalunjour le 7 octobre 2016

L’évangile du 7 octobre permet de  faire un saut vers la Terre Sainte avec cet extrait des mosaïques du Carmel du Pater Noster à Jérusalem (photo JFD – 2013)

PATER

 

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En hommage au Père Jacques HAMEL (actualisé 31/07)

Posté par marechalunjour le 31 juillet 2016

Jacques-Hamel

Homélie de Mgr Vingt-Trois

fichier pdf Homélie du cardinal André Vingt-Trois – Messe pour les victimes de Saint-Étienne du Rouvray

Prions pour ce martyr

(La Croix du 27 juillet 2016)

Qu’est-ce qu’un martyr ?

Le mot martyr vient du grec martys, signifiant « témoin » : littéralement, le martyros est celui qui rend témoignage, selon l’appel de Jésus dans les Actes des Apôtres : « Vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8).

C’est dans l’Apocalypse que le mot commence à désigner ceux qui ont témoigné jusqu’au don de leur vie : « Je vis sous l’autel les âmes de ceux qui furent égorgés à cause de la parole de Dieu et du témoignage qu’ils avaient porté » (Ap 6, 9).

Pour cette raison, les premiers chrétiens vont considérer que ceux qui ont versé leur sang pour le Christ parvenaient directement à la béatitude céleste, même s’ils n’avaient pas été baptisés. Ce que les Pères de l’Église appelleront le « baptême de sang ». « Ne soyez pas surpris que j’appelle le martyre un baptême. Tout comme ceux qui sont baptisés sont lavés dans l’eau, de même ceux qui sont martyrisés sont lavés dans leur propre sang », expliquera plus tard saint Jean Chrysostome (Panégyrique de sainte Lucie).

Jusqu’au IIIe siècle, les martyrs sont alors aussi bien ceux qui ont souffert pour la foi que ceux qui sont morts pour elle. À partir du IVe siècle, alors que les persécutions contre l’Église déclinent, le mot désigne uniquement ceux qui ont été tués – on parlera de « confesseurs » pour ceux qui ont souffert au nom de leur foi – et dont le souvenir reste vivace.

Comment l’Église reconnaît-elle le martyre ?

Pour l’Église, le fait de donner sa vie pour le Christ est la voie par excellence vers la sainteté. Dans les processus de béatification de l’Église catholique, la reconnaissance du martyre dispense d’ailleurs de celle d’un miracle.

L’Église mène donc une enquête rigoureuse sur la vie du futur bienheureux et son martyre. « La réputation de martyre est l’opinion répandue parmi les fidèles selon laquelle le Serviteur de Dieu a subi la mort pour la foi ou une vertu liée à la foi », résume l’instruction Sanctorum Mater publiée en 2007 par la Congrégation des causes des saints.

Subir la mort suppose donc une libre acceptation de celle-ci, mais pas de la rechercher. « Il n’y a pas lieu de féliciter ceux qui vont au-devant du martyre ; un tel zèle n’est pas évangélique », écrit l’auteur du Martyre de Polycarpe, dès le IIe siècle. « Chacun doit être prêt à confesser sa foi, mais personne ne doit courir au devant », ajoutera saint Cyprien de Carthage.

L’autre condition est que la cause de la mort doit être « la foi ou une vertu liée à la foi ». Il s’agit de la traduction actuelle de l’ancienne règle de l’Église selon laquelle le martyr devait avoir été « en haine de la foi ». S’il est « certes nécessaire de repérer des preuves irréfutables sur la disponibilité au martyre, écrivait Benoît XVI en 2006 à la Congrégation des causes des saints. Il est tout autant nécessaire qu’apparaisse directement ou indirectement, aussi d’une façon moralement certaine, la haine de la foi du persécuteur. » Or, soulignait-il, « les contextes culturels du martyre et les stratégies de la part du persécuteur, qui cherche toujours moins à mettre en évidence de façon explicite son aversion envers la foi chrétienne ou a un comportement connexe avec les vertus chrétiennes mais simule différentes raisons, par exemple de nature politique ou sociale, ont en revanche changé ».

Ainsi, Maximilien Kolbe (1894-1941), tué à Auschwitz en s’offrant à la place d’un père de famille, n’avait pas été béatifié comme martyr, en 1971 par Paul VI, mais sera canonisé comme tel par Jean-Paul II onze ans plus tard. De la même manière Edith Stein, carmélite déportée car d’origine juive, a été reconnue comme martyre. La récente béatification d’Oscar Romero ouvre aussi de nouvelles perspectives pour tous ceux qui ont été tués pour des raisons politiques, mais liées à leur engagement de foi.

En soulignant que le martyre peut avoir lieu à cause de « la foi ou une vertu liée à la foi », la Congrégation des causes des saints relève aussi d’autres formes de martyre. C’est ainsi que le P. Damien de Veuster, mort de la lèpre alors qu’il s’occupait des lépreux d’Hawaï a été proclamé « martyr de la charité » en 1995. De la même manière, l’Église reconnaît depuis les premiers siècles comme « martyres de la pureté » celles qui ont préféré la mort à la perte de leur vertu, comme sainte Maria Goretti (1890-1902) ou la bienheureuse Albertina Berkenbrock (1919-1931).

(La Croix du 27 juillet 2016)

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